En avril dernier, la Chine condamnait sévèrement ceux qui utilisaient encore des animaux menacés à des fins culinaires à 10 ans de prison.
Mais depuis ce jour, certaines provinces chinoises sont encore laxistes et laissent encore certains commerçants vendre ce genre de produits.
Gangrénée par le trafic d'animaux rares et le braconnage, la Chine est très en retard sur les questions de protection animale malgré les règles de plus en plus strictes chaque année.
Pourtant les commerçants sont bien présents sur les marchés vendant des centaines de serpents, de sangliers sauvages et de salamandres (classées “en danger critique d'extinction” sur la liste rouge des espèces menacées, inventaire établi par l'ONG Union Internationale pour la Conservation de la Nature).
En Chine une coutûme dit que manger des animaux rares serait bénéfique pour la santé...
Crédit photo : AFP
Carine T
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