Depuis ce début d'année, des meurtres en série de chats sont source d'angoisse dans cette ville balnéaire du Sud-Ouest. En effet, une dizaine de cadavres défigurés ont été découverts en seulement quelques semaines.

C'est une atmosphère bien sombre qui règne aujourd'hui à Andernos, au bord du bassin d'Arcachon. Cela fait maintenant de longues semaines que des disparitions inquiétantes se multiplient dans ce petit village, habituellement calme et sans problème. Cette hausse est d'autant plus inquiétante que les habitants ont récemment été témoins d'une horrible série de meurtres de chats.

Des cadavres mutilés

La piste de l'accident est immédiatement écartée lorsque les riverains découvrent que l'ensemble des cadavres retrouvés avaient tous des lésions importantes au niveau du crâne. Certains auraient même été retrouvés décapités... Un tel geste étant la résultante d'un acte volontaire. D'après le journal Sud-Ouest, le malfaiteur aurait utilisé une pioche ou une bêche pour achever ces pauvres bêtes.

Les chats auraient été préalablement capturés

Bien qu'illégale, le prédateur aurait utilisé la technique du collet pour capturer les animaux. Anciennement utilisée pour chasser le lapin, cette technique est très douloureuse pour les proies puisque l'épaisseur des fils de fer entaille leur chair. Les félins auraient donc été capturés, tués, puis déplacés...

Des associations averties

Les habitants n'ont pas voulu laisser cette histoire tomber dans l'oubli. Et c'est la raison pour laquelle plusieurs associations ont été informées de cet effroyable fait divers. Parmi elles, on compte par exemple la Fondation 30 Millions d'Amis. Une plainte aurait également été déposée auprès de la gendarmerie d'Andernos.

Aujourd'hui, l'enquête suit toujours son cours. En espérant que justice soit faite ...

Photo d'illustration.

Source : Sud-Ouest.

1 Commentaire

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    Eliane R Quelle horreur ! Il faut apprendre aux enfants dès le plus jeune âge à respecter les animaux. Là le coupable est irrécupérable et doit être enfermé (au mieux). Que ces pauvres matous reposent en paix.